Orlando, le frère de Dalida, dénonce l’attitude de cet ancien président de la République

Une révélation de taille.

Une révélation de taille. C’est l’évidence, de toutes les chanteuses du XXe siècle, Dalida se démarque. Et pour cause, elle a la recette du succès. Une signature vocale, des textes, mais aussi des mélodies devenues cultes et des tenues de scène mythiques. Hélas, malgré les apparences, elle est peu épanouie. De plus, traumatisée par le suicide des trois hommes de sa vie, elle décide de les rejoindre en 1987. Aujourd’hui, son frère Orlando va briser le silence sur la nature de sa relation avec cet homme politique.

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Invité sur le plateau de Michel Drucker, Orlando ne tarit pas d’éloges au sujet de sa sœur Dalida. En effet, depuis le début de sa carrière, il sait qu’elle est sensible. Donc, il la surveille comme le lait sur le feu.

D’abord son confident, il devient son producteur. Aussi, il est aux premières loges quand elle est en spectacle ou en studio d’enregistrement. Hélas, une fois loin des projecteurs, les démons du passé de Dalida reviennent la hanter.

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Par exemple, lorsqu’elle découvre le corps sans vie de Luigi Tenco, Dalida ne peut et ne veut pas y croire. Quelques heures auparavant, elle interprète sa magnifique chanson « Ciao amor » sur la scène du festival de San Remo.

Trois ans plus tard, son mentor et ex-mari Lucien Morisse met également fin à ses jours. Marquée de manière indélébile par ces deux tragédies, Dalida se sent responsable.

Enfin, au début des années 80, Richard Chanfray ne gère pas du tout sa rupture avec Dalida. Au lieu d’utiliser une arme,  celui que le Tout-Paris surnomme le « comte de Saint-Germain » inhale les gaz d’échappement de sa voiture.

Depuis le décès de sa sœur, Orlando ne mâche pas ses mots. Révolté par le comportement de certains « biographes« , il est plus franc que jamais. Pire encore, selon lui, ils « inventent [et], écrivent tout alors qu’ils ne savent rien ».

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De son vivant, Dalida est souvent courtisée par des personnalités. Or, échaudée, elle verrouille à double tour l’accès à son jardin secret. Aussi, sa rencontre puis son amitié avec François Mitterrand titillent la curiosité de ses admirateurs.

Plusieurs décennies après, Orlando jette un pavé dans la mare. Chez Michel Drucker, il décide de passer aux aveux. « Dalida a toujours considéré Mitterrand comme un ami, il n’a jamais cessé de la séduire ». 

Hélas, eu égard son statut de président de la République, le locataire de l’Elysée s’octroie quelques privilèges. Orlando explique qu’il « sonnait à n’importe quelle heure. » En agissant ainsi, il fait vivre un cauchemar aux « services secrets« .

C’est pourquoi, il décide de rendre visite à Dalida sans protection. « Il traversait la rue qui était toute petite, serrée, il n’y avait pas de lumière du tout. »  Voulant à tout prix éviter un drame, les autorités compétentes font installer une « rangée de réverbères« .

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Juste avant le début de son second mandat, Dalida s’envole au paradis. L’absence de François Mitterrand aux funérailles agace fortement Orlando. Inconsolable, il ne pardonne pas cet énième affront de l’homme d’État. Le message est passé !

26 avis sur « Orlando, le frère de Dalida, dénonce l’attitude de cet ancien président de la République »

  1. Dalida était une icône, et il semble qu’elle ait été entourée par des gens qui n’avaient pas toujours ses meilleurs intérêts à cœur.

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