Un aveu surprenant. Depuis le début de sa carrière, la pétillante Alice Belaïdi se démarque de ses confrères ou consœurs. En effet, cette passionnée de théâtre a plusieurs cordes à son arc. Aussi, lorsqu’elle accepte de jouer dans la série médicale Hippocrate de Canal+, elle prend son rôle très au sérieux. Avec la mystérieuse Louise Bourgoin, elle assure. L’an passé, en lisant le scénario du film d’Artus, elle perçoit tout de suite son potentiel. Et force est de constater qu’elle ne s’est pas trompée ! Pour la première fois, elle va parler de son enfance, mais surtout de ses souvenirs avec ses deux sœurs aînées.
La drôle de confidence d’Alice Belaïdi
Aussi loin que ses souvenirs remontent, Alice Belaïdi n’a jamais vraiment l’école. Dès son entrée au collège, elle décide de s’inscrire à des ateliers de théâtre.
Or, une fois sur les planches, son talent ne passe pas inaperçu. Du reste, le directeur va la remarquer et lui donner un précieux conseil. De ne pas se reposer sur ses lauriers et de continuer dans cette voie.
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En 2010, après avoir décroché deux récompenses, dont un Molière, pour sa performance dans « Confidences à Allah », elle a une pensée émue pour lui.
Une fois à la maison, la cadette de la fratrie a du pain sur la planche. En effet, tente tant bien que mal de se faire sa place au soleil. Fascinée par la console NES de ses deux sœurs, elle la compare au « Graal absolu« . Donc, elle les supplie, matin, midi et soir d’entamer une partie.
Malignes et taquines, les aînées lui font croire qu’elle contrôle la situation. Hélas, en réalité, c’est l’inverse qui se produit. Aujourd’hui, après des années de supercherie, Alice Belaïdi sait qu’elle n’avait pas la bonne manette.
C’est l’évidence, toutes ses heures passées en compagnie de Mario Bross, Alice Belaïdi ne les regrette pas. Devenu une référence, ce jeu vidéo est culte pour plusieurs générations de geek.
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Quelque temps plus tard, pour la récompenser et sans doute éviter les disputes entre les enfants, ses parents décident de lui offrir une Super Nintendo à Noël.
À l’instar de ses deux sœurs, Alice Belaïdi doit bien choisir. Et pour cause, vu le prix de la commande, elle a conscience qu’elle n’a pas le droit à l’erreur.
Dans l’excitation du moment, Alice Belaïdi sélectionne Les Schtroumpfs. Plusieurs décennies après, elle regrette amèrement. A l’instar des experts, elle déplore la piètre qualité du graphisme ainsi que la mauvaise ergonomie des petits hommes bleus.
Amusé par ces révélations, le chef d’orchestre du podcast Small Talk David Castello-Lopes partage sa plus « belle découverte« . En investissant dans Tic et Tac, il met des étoiles dans les yeux d’Alice Belaïdi. Ces personnages de dessin animé, elle les adore !
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