Ivre comme jamais, il tente de souffler dans l’éthylotest… et s’attaque à la voiture de police

Le 1er novembre, alors que la plupart des fêtards profitaient d’une soirée débridée dans les rues de Saint-Étienne, un jeune homme a offert un spectacle pour le moins mémorable. Trop ivre pour se tenir debout, encore moins pour souffler dans un éthylotest, il a néanmoins trouvé l’énergie pour attaquer… une voiture de police.

Entre coups de pied, insultes, et tentatives d’intrusion dans le véhicule des forces de l’ordre, cette soirée alcoolisée restera sans doute gravée dans sa mémoire, tout comme dans celle des agents.

Boire ou conduire, il a clairement fait son choix

Tout commence aux alentours de deux heures du matin. Une bagarre éclate dans une rue de Saint-Étienne, et une équipe de la police municipale se rend sur place pour calmer la situation.

Jusque-là, rien de bien anormal pour un week-end festif. Mais alors que les policiers s’apprêtent à intervenir, un autre véhicule de patrouille arrive en renfort, attirant involontairement l’attention d’un jeune homme manifestement sous l’emprise de l’alcool.

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Le Stéphanois, vacillant mais visiblement motivé, s’approche du véhicule de police et commence, sans aucune raison apparente, à déverser sa colère sur la pauvre voiture stationnée. Coups de pied rageurs, insultes, et même tentative d’ouverture de portière, notre jeune fêtard a décidé que cette voiture de police serait sa victime de la soirée.

Tentative d’éthylotest, une mission impossible

Face à cette scène surréaliste, les policiers n’ont d’autre choix que d’interpeller le jeune homme. Celui-ci, en état d’ivresse avancée, ne tient pas debout et ne semble pas comprendre la situation.

Ils tentent de lui faire passer un test d’alcoolémie, mais même cette tâche s’avère être un défi. Incapable de souffler correctement dans l’éthylotest – un exploit pourtant simple pour la plupart des mortels – le jeune homme s’embrouille, ne parvenant qu’à émettre des souffles incohérents et des mots tout aussi flous.

Après plusieurs tentatives infructueuses, les agents, eux-mêmes quelque peu dépités, se résignent à l’envoyer en cellule de dégrisement. Il semblerait qu’avant de pouvoir prouver quoi que ce soit sur son taux d’alcoolémie, il devait tout simplement reprendre ses esprits.

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Réveil difficile en cellule, et convocation devant le juge

Après une nuit passée en cellule, notre jeune homme se réveille probablement avec un mal de tête certain et des souvenirs de la veille tout aussi flous. Si ses actions peuvent prêter à sourire, la justice ne l’entend pas de cette oreille. Accusé de violences et outrages envers les forces de l’ordre, il devra répondre de ses actes devant le tribunal.

Cette histoire nous rappelle qu’il est toujours sage de consommer avec modération. Ce Stéphanois pourrait en témoigner : une soirée arrosée, c’est bien, mais se retrouver accusé d’avoir agressé une voiture de police, c’est nettement moins glorieux.

éEn attendant, les rues de Saint-Étienne ont sans doute retrouvé leur calme, et la voiture de police, après quelques réparations, continue de patrouiller en espérant, cette fois, éviter les fêtards trop éméchés.

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