D'ici le 15 août, un nouveau règlement interdira les clôtures à piquets de bois trop espacés dans 46 communes françaises.
Cette mesure vise à réduire les intrusions de gibier qui causent des dégâts aux cultures et posent des risques pour la sécurité routière.
Contexte de la nouvelle réglementation
La décision prise par les autorités locales intervient après de nombreuses consultations avec les agriculteurs et les experts en faune. Les clôtures espacées, courantes dans de nombreuses régions rurales, permettent aux animaux tels que les cerfs et les sangliers de pénétrer dans des zones souvent réservées à l’agriculture ou à l’habitation.
Le flux RSS est invalide ou inaccessible.
- Cette mine abandonnée dans les Vosges est en cours de réaménagement pour servir de zone de stockage thermique naturel “ça pourrait alimenter tout un quartier”
- Ce ventilateur de plafond est interdit dans plusieurs campings “c’est pour éviter les départs de feu” selon un arrêté local
- Une canicule record attendue la semaine du 8 juillet, 52 départements déjà en vigilance “préparez-vous à rester enfermés”
- « Il faut bosser 40h par semaine sinon t’es un fainéant » — alors qu’ils s’étonnent de voir les autres faire plus avec moins.
- Dès le 1er août, vos haies ne devront plus dépasser 1,8 mètre en zone urbaine, c’est écrit noir sur blanc dans le décret
- “On n’a pas besoin de clim, l’ambiance reste à 20 °C même à midi” : ce restaurant troglodytique du Lot attire les foules en pleine canicule, devenu refuge naturel contre la chaleur étouffante
- “C’est honteux de prendre l’AAH si t’es pas complètement cassé” : des allocataires témoignent de ce droit méconnu auquel beaucoup renoncent par culpabilité ou ignorance
- “Si une branche dépasse chez le voisin, vous avez 15 jours pour la couper” : une nouvelle disposition encadre désormais les arbres fruitiers, sous peine d’amende pour trouble anormal de voisinage
- Mauvaise nouvelle : “C’est injuste pour les familles”, les campings interdisent l’accès à des races de chiens dès l’été 2025, les propriétaires dénoncent une stigmatisation arbitraire qui gâche leurs vacances
- Ces jardiniers qui arrosent la nuit pour éviter les restrictions risquent plus gros qu’ils ne croient “un agent peut constater l’infraction à tout moment”
- Un drone de loisir a survolé une zone militaire classée secrète : enquête ouverte, le propriétaire encourt une saisie immédiate
- Lampe néon installée dans la cuisine “parce que j’avais besoin de lumière même à 2h du matin”
- Bureau repeint d’une seule couleur “je voulais retrouver la clarté dans ma tête”
- Table en marbre trouvée par hasard « elle pèse une tonne mais elle tient mon histoire
- Carrelage choisi avec soin malgré le prix “c’est là que j’ai appris que le beau peut valoir l’effort”
- Tenture murale posée après un deuil “je voulais que la douceur revienne sur mes murs”
- Lampe trouvée en brocante et installée en coin lecture “c’est la seule lumière qui m’apaise vraiment”
- Chambre d’amis transformée en atelier “c’est l’espace où je ne dois rien à personne”
- Plantes accumulées dans l’entrée “chaque feuille me rappelle que je suis vivante moi aussi”
- Plafond peint en bleu nuit “je voulais dormir sous un ciel que j’avais choisi”
- Cheminée remise en route “je voulais que ça crépite à nouveau dans ma vie”
- Chambre d’enfant décorée à deux “il voulait des fusées, moi de la tendresse… on a mis les deux”
- Erreur de calcul non rectifiée malgré les preuves : “Je fournis les fiches de paie, ils répondent par des mails automatiques”
- Refus de prise en compte des stages en entreprise avant 1992 : “J’étais là, j’ai bossé… mais ils n’ont pas de case pour ça”
- Recalcul d’APL après déclaration d’un compte livret A à 800 € : “Ils m’ont dit que j’avais un ‘capital de précaution’”
- Majoration pour enfant non versée : “Mon fils est décédé à 7 ans, ils me disent qu’il ne ‘compte pas’”
- Refus du RSA à une mère isolée hébergée gratuitement : “Je n’ai pas de loyer, donc je n’ai pas besoin d’argent, selon eux”
- Recalcul du RSA après héritage de 1 800 € : “J’ai touché une vieille commode… et perdu trois mois d’aide” souffle une allocataire abasourdie
- Pas de pension de réversion pour une femme séparée sans divorce : “J’ai gardé son nom, pas ses droits”
- Retard de retraite de base à cause d’un formulaire perdu : “On me dit de patienter, mais mon loyer n’attend pas” explique un futur retraité
- Droits retraite refusés pour carrière en intérim fragmentée : “J’ai enchaîné 93 contrats… ils n’arrivent pas à suivre, donc ils ne paient pas”
- Refus de l’aide chauffage à cause d’un poêle à bois non certifié : “Mon père l’a fabriqué… il chauffe, mais il n’est pas aux normes”
- Majoration retraite refusée à une mère ayant adopté : “Ils veulent des certificats d’accouchement”
Les clôtures mal ajustées constituent une porte ouverte aux dégâts considérables sur les cultures et peuvent même provoquer des accidents de la route lors des traversées d’animaux.
Implications pour les habitants locaux
Une adaptation nécessaire
Les résidents des communes concernées devront ajuster ou remplacer leurs clôtures existantes pour se conformer à la nouvelle loi. Cela implique souvent des coûts non négligeables et une logistique complexe pour l’acquisition de nouveaux matériaux et la main-d’œuvre.
Témoignage de Bernard Alain, agriculteur local
Bernard Alain, un agriculteur de la commune de Saint-Amand, partage son expérience : « L’année passée, j’ai perdu une partie significative de ma récolte de maïs à cause des sangliers qui traversaient facilement l’ancienne clôture. Cette nouvelle réglementation est une lueur d’espoir pour protéger notre travail. »
Monsieur Alain prévoit déjà de collaborer avec ses voisins pour acheter les matériaux en gros et réduire les coûts.
Réactions et ajustements
Si certains habitants accueillent favorablement la mesure, d’autres s’inquiètent des dépenses engendrées. Cependant, la majorité semble reconnaître l’utilité de cette régulation pour la sécurité et la préservation de leurs biens.
Les autorités locales ont annoncé des subventions pour aider les plus touchés par la mesure, notamment les petits exploitants qui ne disposent pas des ressources nécessaires pour une transition rapide.
Enjeux écologiques et économiques
Outre la protection des cultures et la sécurité routière, cette mesure a également un impact positif sur la gestion de la faune locale. En contrôlant les mouvements du gibier, il est possible de mieux gérer les populations et de prévenir les déséquilibres écologiques.
Cette initiative s’inscrit dans une démarche plus large de développement durable et de cohabitation harmonieuse entre l’activité humaine et la nature.
Informations complémentaires
Les experts recommandent que les nouvelles clôtures aient des piquets espacés d’au maximum 20 cm pour être efficaces. Ils suggèrent également l’utilisation de matériaux durables et respectueux de l’environnement pour limiter l’impact écologique de ces installations.
La mise en œuvre de cette réglementation sera surveillée de près, avec des ajustements possibles selon les résultats obtenus et les retours des communautés locales. Les communes prévoient également des sessions d’information pour aider les résidents à comprendre et à appliquer les nouvelles normes.
En préparant les terrains pour cette transition, les communes espèrent minimiser les perturbations tout en maximisant les bénéfices à long terme pour tous les habitants et l’environnement local.
Enfin une bonne nouvelle! Cela fait des années que les sangliers détruisent nos champs. Espérons que cette mesure limitera un peu leurs dégâts. 👍
Qui va payer pour tout ça? Entre les coûts des nouveaux matériaux et la main d’oeuvre, ça va encore tomber sur le dos des petits agriculteurs… 😒