Les petites retraites vont enfin recevoir un chèque exceptionnel en réponse au gel des pensions

Alors que 2025 approche à grands pas, le gouvernement français, sous la direction de Michel Barnier, envisage une aide financière pour les retraités aux revenus modestes.

Débat sur les retraites

Cette initiative vise à atténuer les effets d’un gel des pensions qui a été largement critiqué à travers le spectre politique.

Cette mesure, prévue pour une durée de six mois à partir de janvier 2025, pourrait impacter près de quatre milliards d’euros d’économies pour l’État et la Sécurité sociale.

Le gel des pensions est une décision difficile, acceptée ni par les socialistes ni par les Républicains, et surtout contestée par les figures comme Laurent Wauquiez.

Les défis d’une politique de revalorisation

Le plan du gouvernement inclut une revalorisation des pensions pour les retraités percevant moins de 2 000 euros dès janvier 2025, en réaction à l’inflation. Cependant, ceux qui bénéficient de pensions plus élevées devront attendre l’été pour voir une quelconque augmentation.

La ministre du Travail, Astrid Panosyan-Bouvet, a souligné les obstacles techniques à une mise en œuvre rapide de cette politique.

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Ce retard suscite des inquiétudes parmi les retraités les plus vulnérables, qui se trouvent dans une période d’incertitude économique prolongée.

Un chèque exceptionnel pour soulager les plus démunis

Face à ces obstacles, l’exécutif propose un chèque exceptionnel pour les retraités dont les pensions ne dépassent pas 1 300 à 1 400 euros. Cette mesure rappelle la prime de 40 euros octroyée en 2014 sous le gouvernement de François Hollande, une initiative qui avait alors coûté plus de 200 millions d’euros.

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Le gel des pensions touchera de nombreux retraités, mais nous nous efforçons de protéger les plus vulnérables parmi eux.

Pression continue sur les finances publiques

Épargner les petites retraites tout en gelant les autres pourrait compliquer la situation budgétaire du pays.

Le gouvernement doit trouver un équilibre entre les besoins immédiats des citoyens et les impératifs économiques de long terme.

Les débats actuels sur le budget de la Sécurité sociale sont cruciaux pour l’avenir de cette mesure. Les partis politiques comme les socialistes et les centristes plaident pour des revalorisations immédiates pour les pensions inférieures à 2 500 euros.

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  • Impact du gel des pensions sur les finances publiques.
  • Difficultés techniques de mise en œuvre des revalorisations.
  • La pression des partis politiques pour des mesures immédiates.
  • Inquiétudes des retraités face à l’incertitude économique.

2025 s’annonce comme une année charnière pour les politiques de retraite en France.

Les retraités modestes, particulièrement touchés par les incertitudes économiques, espèrent des mesures concrètes qui soulageront leur quotidien sans attendre.

Le chèque exceptionnel s’avère une solution temporaire; toutefois, son efficacité à long terme reste à démontrer dans un contexte de mécontentement croissant vis-à-vis du gel des pensions.

68 avis sur « Les petites retraites vont enfin recevoir un chèque exceptionnel en réponse au gel des pensions »

    • Je subit les aléas de la retraite, en 1986, j’ai été victime d’un accident de travail, suite à une chute de près d’un mètre et demi de haut.
      Le malheur, c’est que je me retrouverai en difficulté médicale que trois jours après l’accident, et ce que le lundi après la chute, transporté par les pompiers à l’hôpital, où je désirerais rencontrer l’assistante sociale de l’hôpital ; malheureusement celle ci était en congé.
      Cet accident me vaudra plus de quatre mois d’hôpital, après une cure d’hernie.
      À ma reprise imposée tla CPAM 13, je reprendrai donc mon travail, en apprenant que la sécurité sociale, me refusera la reconnaissance de mon accident, car non déclarée dans les vingt quatre heures après celui-ci.
      Mon employeur, ayant pris soin de ne pas déclarer celui-ci comme c’était l’habitude lors de certains accidents, préfèrent faire appel à une ambiance privée, que de faire appel aux pompiers, qui aurait déclancher une enquête sociale.
      J’ai dû payer les frais hospitalier en grande partie. Reconnu comme blessé du travail par la médecine du travail, avec un reclassement professionnel au sein de mon entreprise, je fus mis au rebus par celle ci, qui persistera à me mettre dans des postes de travail harassants, dont je ne pouvais pas accomplir.
      Je suis subitement licencié pour faute grave.
      Je dû malheureusement durant plusieurs années cesser de travailler.
      Quand je repris des emplois intermittents je devrais cacher mon état de santé, car employé dans des postes de cariste, où de manutention, ce que ne conseillait pas la médecine du travail depuis mon accident ; je faisais mon travail, mais je devrais renoncer chaque fois à mes emplois, certaines fois la sécurité sociale, m’imposer à de reprendre mon travail sous peine de radiation des indemnités.
      Ainsi, durant plus de dix ans, je me battrais contre les administrations, comme la COTOREP, pour me faire reconnaître comme invalide, ne pouvant plus prendre des emplois, de mon niveau, qui imposaient; conduire d’engins de conduite de charges lourdes, de porter des manutentions lourdes, des colis volumineux, de tirer des câbles linéaires à quatre vingt kilos le mètre linéaire, dans des tranchées inondées.
      Ainsi je détruisait le peu de potentiel physique me restant.
      On découvrira alors plus tard, par scanners et IRM, que j’avais un canal rachidien infidubiliere étroit congénital, ainsi qu’une cruralgie Aiguë.
      Durant près de dix ans, je me permettrait d’adresser de nombreuses lettres accompagnées de documents, expliquant ma situation sociale, médicales, familiales, professionnelles et financières.
      Dans les Bouches du Rhône 13, mes demandes restaient sans suites, c’est en allant en Isère 38, qu’après deux emplois impossibles, je contactais un médecin généraliste, spécialisé dans le domaine du handicap, me communiquera l’adresse d’une assistante sociale de l’AFP 38, qui tous deux réussirent, ce que dans le treize, l’on me refusait, j’oubliais de dire, que conseillers généraux du 38 et du 13, député du 13, 77, et autres, ministre chargé du handicap, président de l’Assemblée nationale, du sénat, premier ministre et président de la république, la CPAM 38 puis 13, l’assedic 13, l’ANPE 13, le soutien de plusieurs médecins du 38 et du 13, les COTOREP 38 et 13, grâce au 38, qui elle avait prise mes doléances u sérieux, qu’elle me reconnaîtra invalide avec reclassement.
      Arrivée à la retraite, je ne perçoit en retraite juste 1.013€ mensuel ; heureusement, qu’il y a avec une allocation qui s’y greffe dessus pour faire cette somme là !
      Il serait intéressant que l’AAH, soit poursuivie en retraite afin de consolider ladite retraite.
      Car aujourd’hui suite à mes déboires, je suis reconnu en CMI sup. 80 %, avec mention Besoin d’Accompagnement.
      Mais la MDPH 13, nous caches les allocations et prestations, dont nous pouvons soliciter, en m’octroyant la PCH, qui bloque toutes les autres possibilités.
      Demandant à la MDPH 13, ce que peut bien représentée la mention Besoin d’Accompagnement, sur la carte CMI invalidité permanente jusqu’en 2099 sic.
      Elle n’aura même pas le courage de me dire, que cela m’ouvre à des droits d’allocations et de prestations.
      Aujourd’hui encore, je dois me battre, en intervenants auprès du ministère délégué, chargé des personnes âgées et des personnes handicapées, de la CAF 13, la CPAM 13, l’ARGIC AARCO 13, KLESIA 13, mairie de Vitrolles 13, le 360 assistance handicap, sans mon médecin, qui connaissant mon handicap, m’obligerait à me rendre à pied à son cabinet médical.
      Alors que je n’ai ni voiture, ni taxi où ambulance, qu’elle me refuse, alors que je bénéficie du 100 pour 100 C2S,
      Et que les transports publics ne passent pas dans mon quartier ; habitant dans un bâtiment à escaliers en colimaçons au second étage, sans ascenseur, et sujet à des chutes suite à des problématiques de marches.
      Je serai surpris que vous mettiez ce message en ligne avec mes coordonnées.
      Je souhaiterais être contactés par des personnes âgées et handicapées,
      Rencontrant de telles situations pour intervenir en au lieu dans un collectif.
      Me contacter sur courriel :
      [email protected].
      Pas sérieux, s’abstenir.

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  1. Dis moi c’est quoi petite retraite ? Moins 900€ pourquoi on a pas eut l’augmentation en octobre ????répondez svp on aura encore pas ce chèque

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  2. J’ai une retraite de 1029€ par mois et je n’ai eu aucune augmentation au mois de septembre alors que des personnes ont eu plus de 200€ je creve de faim car je ne peux pas acheter de quoi manger c’est honteux

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  3. Bonjour
    Je touche 58€de retraite plus l aspa et la complémentaire total net 1243€ avec 4enfants 9 a 14ans.et pas de prime de Noël pour les retraités. Merci..

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  4. avec 960 euros de retraite je pense faire partie des petites retraites. mais les politiques voient tout nos problèmes , avec le portefeuille plein eux .merci de nous étrangler un peu plus messieurs

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